
Alex Izenberg dévoile le clip de son nouveau single “Ivory” mettant en scène “Sir Paul McCartney #4”
4th May 2022
L'auteur-compositeur le plus mystérieux de Los Angeles, Alex Izenberg, s'est associé au légendaire "Sir Paul McCartney #4" pour le clip de son nouveau single "Ivory". Le clip de cette chanson anti-amour, en quelque sorte, met en scène la plus belle version new-yorkaise du célèbre Beatle.
Alex à propos de "Ivory" : "Je ne sais pas si c'est plus une histoire ou moi essayant de raconter une histoire, parce que je ne me considère pas comme un conteur comme Bob Dylan ou Leonard Cohen, mais je suppose que c’est ce que j’ai tenté de faire. On peut la ressentir de différentes manières, selon l'humeur du moment, mais je pense qu'on peut l'interpréter comme un couple chic qui sort et qui n'est pas vraiment amoureux mais qui reste ensemble. Et puis "real love will stone you" à la fin du refrain peut être vu comme le moment où ils réalisent qu'ils ne sont pas amoureux. J'avais envie d'une ambiance à la "Best of My Love" des Eagles. Je pense que cette chanson parle du chanteur qui est désespérément amoureux de quelqu'un et qui clame tout son amour à cette personne. Les paroles ne sont pas tout à fait les mêmes, mais c'est l'ambiance que je recherchais."
"Ivory" est le troisième extrait du prochain album studio d'Alex, I'm Not Here, qui sortira le 20 mai via Weird World, division de Domino. Il fait suite l'accrocheur et rétro-pop “Sorrows Blue Tapestry” et l'optimiste et élégant “Egyptian Cadillac.”
Alex Izenberg I'm Not Here
Album | 20th May 2022
Like his debut, 2016’s homespun Harlequin, and its ambitious 2020 follow-up Caravan Château, Alex Izenberg’s new album I’m Not Here inhabits the shaggy, world-weary mode of artists like Harry Nilsson, John Lennon, Randy Newman, and Lou Reed.
With the help of producer Greg Hartunian, and swelling string and woodwind arrangements courtesy of Dirty Projectors’ Dave Longstreth, Alex manages a paradoxical and visionary trick: he disappears completely while simultaneously revealing more of himself than ever before.
Like his debut, 2016’s homespun Harlequin, and its ambitious 2020 follow-up Caravan Château, Alex Izenberg’s new album I’m Not Here inhabits the shaggy, world-weary mode of artists like Harry Nilsson, John Lennon, Randy Newman, and Lou Reed.
With the help of producer Greg Hartunian, and swelling string and woodwind arrangements courtesy of Dirty Projectors’ Dave Longstreth, Alex manages a paradoxical and visionary trick: he disappears completely while simultaneously revealing more of himself than ever before.